Dispositions en cas de maladie / Directives anticipées
Bien des gens redoutent de se retrouver un jour à l’hôpital, inconscients ou dans un état désespéré, et d’être alors branchés pour une période prolongée à des appareils qui les maintiennent en vie artificiellement. Ils redoutent aussi les opérations inutiles et les traitements médicamenteux inefficaces.
Pour ne pas se trouver à la merci de cette médecine déshumanisée, il n’existe qu’une seule solution qui ait fait ses preuves : une déclaration pour le droit de mourir dans la dignité (directives anticipées), reconnue juridiquement. Pour qu’une telle déclaration soit valable, il faut, d’une part, que son texte soit rédigé par des spécialistes expérimentés, de manière à ce qu’il soit dépourvu d’ambiguïté et revête un caractère contraignant. D’autre part, il est nécessaire de pouvoir compter sur une organisation efficace, telle que DIGNITAS, capable de faire respecter la déclaration – le cas échéant contre l’opposition d’autrui.
En vue de la phase de fin de vie, DIGNITAS procure à ses adhérents une déclaration juridiquement reconnue. Elle doit être observée par les médecins et le personnel soignant des hôpitaux. Pour la faire respecter, DIGNITAS assure si nécessaire à ses membres l’appui d’un avocat.
Etant donné que les directives anticipées dépendent étroitement du droit du pays où elles sont établies, cette prestation ne peut être assurée que pour le territoire Suisse.
|